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Le sabbatique de mon collègue Lyle Bierma cet automne m'a donné l'occasion d'enseigner pour la première fois le cours du demi-semestre « Histoire de l'Église réformée chrétienne ».

Quelques semaines plus tard, nous étions au point de suivre ce qui s'est passé au sein de la CRC depuis les années 1920 jusqu'aux années 1950. En sandwich, il y avait, bien sûr, la Grande Dépression et la Seconde Guerre mondiale. Ces deux événements ont eu pour effet de secouer certains éléments de la Convention relative aux droits de l'enfant et de déclencher des tensions et des désaccords prolongés.

Pendant longtemps, les membres les plus conservateurs et les plus détournés du monde de la confession ont tenu le coup. L'interdiction de 1928 des « jeux mondains » (jeux de cartes, danse et présence au théâtre) en est un exemple clé. Mais lorsque les membres du CRC sont revenus de la Seconde Guerre mondiale, y compris quelques aumôniers militaires, le mur de la forteresse de la CRC contre le monde a commencé à s'effondrer. Un plus grand esprit d'ouverture et même d'œcuménisme commença à s'élever.

Mais cela n'a pas rendu les moments faciles. Un microcosme des pressions exercées sur toute la confession a éclaté en 1951-1952, lorsque de violents désaccords théologiques entre la faculté du Séminaire théologique de Calvin ont entraîné le saccage de facto de toute la faculté sauf pour une seule personne (et même il a été fortement mis en garde par le Synode).

C'était aussi exactement le moment où le Journal réformé est né (et son magazine opposé/opposé Torch and Trumpet). Les temps se sentaient incertains. Les craintes du communisme et de la guerre nucléaire augmentaient. Et les progressistes souhaitaient un endroit où travailler et faire connaître leur point de vue théologique sur les questions, conduisant ainsi au R.J.

Les temps sont encore incertains (ou n'ont-ils jamais été terriblement sûrs ?). Nous vivons à une époque polarisée de désaccords partisans et de divisions aussi féroces et même ecclésiastiques pour vous couper le souffle.

Peut-être est-il approprié, alors, que nous ayons récemment rebaptisé notre entreprise « The Reformed Journal ». Oui, aujourd'hui, nous représentons le côté progressiste de la foi réformée, même comme James Daane et Harry Boer et George Stob l'ont fait au début des années 1950. Et puis comme maintenant, cela ne s'assied pas toujours bien avec tout le monde.

Mais que l'église a encore besoin d'entendre de tous les points de vue est clair. Alors, s'il vous plaît, pensez à un cadeau pour aider à financer The Twelve et la plus grande entreprise Reformed Journal. Tous ceux d'entre nous qui écrivent le font comme un travail d'amour et sans aucune compensation, mais il faut encore des fonds pour garder les lumières allumées. Alors, s'il vous plaît, considérez un cadeau. Les temps une fois de plus peuvent simplement exiger ce forum d'idées, de pensées et d'idées.

Selon l'appareil que vous regardez, il y aura de grands boutons bleus étiquetés Don en haut à droite et/ou en bas centre de l'écran.Il est si simple.S'il vous plaît montrer votre soutien avec un cadeau aujourd'hui.Mise en place d'un petit cadeau chaque mois serait particulièrement merveilleux.Merci !

Scott Hoezee

Scott Hoezee is Director of the Center for Excellence in Preaching at Calvin Theological Seminary.

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